Voyez les enfants, je vous l’avais bien dit , de la comédie. Elle met un point final mais au détour de ce point , elle fait ses gieries, Et qu’elle te met des infos incomplètes , qu’elle corrige dès qu’on lui dit qu’elle a dû oublier quelque chose, et qu’elle les enlève, dès qu’on lui dit que de toute manière ça ne sert à rien, et qu’elle nous fasse un caca verbeux parce qu’elle s’est fait (encore une fois ) remettre à sa place par son idole d’hier .
Non, non, je vous l’ai dit. Elle ne partira pas aussi vite que ça. On dirait du Feydeau. Du Boulevard. Au Théâtre Ce Soir.
Et on va rester longtemps comme ça , derrière une bibliographie de haute pauvreté, derrière le comptage stupide des pauvres cons qui ouvrent les pages de son blog, derrière l’image « goût de chiotte » du power girl, de la boutique de fleurs, de la liste palichotte d’un généanet de la béquille N°1 et de la page illisible tant le verbiage est nauséeux, du blog de Béquille N°2 ?
Tout cela est d’un laid, tout cela n’est que l’affichage prétentieux d’une sous-culture.
Allez, les enfants, je ne vous dirai pas de fuir. Parce que, avouez-le, c’est une fichue source de rigolade son blog, et ça nous manquerait plutôt si on ne l’avait plus.
Une image quand même ? Il paraît qu’il faut faire ce soir dans le Grand Vizir ? Ce qu’il y a de bien, avec Dubout, c’est qu’il est inépuisable.