Guignol, guignol, guignol, guignol, guignol, guignol,

La blogueuse-chef se met en quatre devant les descendants de Déchenne afin de leur offrir ses colonnes si ils avaient à dire quelque chose  pour défendre leur ancêtre.

Et pourquoi, les enfants ?

Parcequ’elle a lu dans les commentaires de l’un de mes billets une accusation de faux en écriture envers Charles Déchenne.

Ah bon, faux en écriture ? Jamais nous n’avons écrit cela. Ni Madame Jourdan, ni moi.

Mais madame, lisez mieux ! Ca vous épargnerait au moins ce pénible labeur de votre écrit du jour composé d’un habituel copier-coller, des remontrances ordinaires sur les fainéants et les maladroites réponses à vos insuffisances flagrantes.

Dire qu’il pourrait avoir tapé sur une machine à écrire un texte que lui aurait donné Seznec, c’est une supposition et non une accusation. Une supposition. Sur la quelle nous n’avons d’ailleurs pas insisté. C’est tout. Mais peut-être que vous ne savez pas ce qu’est une supposition, une hypothèse ?

Par ailleurs, rien dans les documents que nous connaissons ne permet de déduire que Déchenne ait quitté la comptabilité de Seznec pour aller se faire embaucher à la Manufacture. Mais rien non plus ne nous empêche de penser qu’il y travaillait déjà et qu’il faisait des comptablités en plus, à droite et à gauche, pour des artisans et des commerçants.

De plus, comme vous me lisez mal, vous n’avez pas compris que je parle de sa « mutation » à Pantin en 1924. Pas d'un engagement aprés avoir quitté Seznec.

Tout ça pour dire qu’il y a ici, comme souvent dans vos écrits, une malhonnêteté intellectuelle. Chez d’autres, on dirait que c’est stupidité. Mais non, pas chez vous. C’est ici la preuve que vous prenez trois mots et les tordez pour leur faire dire n’importe quoi et quand vous pensez que c’est importun, vous vous glissez dans la peau d’un chevalier Bayard, plus blanc que blanc, et , chevauchant votre bidet, le verbe haut et pétaradant, vous vous érigez en défenseuse de la veuve et de l’orphelin.

Quel guignol !Quel cirque ! Quelle mauvaise comédie…

On aura beau mettre du Shakespear et du Lili chez les philosophes * en citation comme les éclairs que nous jette Jupiter, ça restera toujours une mauvaise comédie.

* « Les gens qui travaillent sont toujours critiqués par les fainéants qui n’en branlent pas une. »

Pour l'image, vous aurez le droit à Lili nous présentant son spectacle.