Le mal-être de l'auteur m'effare.
Oui, j'en reviens à la page 535 de son bouquin.
Mais comment ais-je pu croire à tout cela pendant 25-30 ans ?
J'ai passé une partie du week-end à relire pour la trentième fois Denis Langlois. Pour revenir à un autre Seznec.
Et là, ce matin , suite un message sur le forum, retour à la page 535 et ses petites sœurs suivantes.
Le summum du stupide , du niais, du jobard : Quéméneur présent (peut-être, soyons juste) au mariage de Jacques Bardoux.
Le summum de l 'ignard : une pleurnicherie sur les petits gars de 14-18, " ruraux et laborieux, alors que toute une partie du beau monde, pistonné, planqué " . Ça me donne envie de lui envoyer à la face mes deux grands-pères, riches aristos qui ont failli perdre la vie à Verdun, comme tout le monde.
Le summum de la mauvaise foi , page 540 : trois hypothèses principales.Mais il en manque une , mon bon Monsieur : celle qui a fait l'objet d'une enquête, d'un procès, d'un verdict, la responsabilité de Seznec.
Et puis , en quatrième de couverture, « un triller politique où la réalité dépasse la fiction » Je crois que le journaleux de Lyon- Matin n'a pas du remarquer sa malheureuse inversion...
Bon, je veux bien, écorché vif c'est pas facile à vivre
moi, je ne le suis pas
mais si j'y étais
est-ce pour autant que je dirai du n'importe quoi comme celui là ?